Jason Hynes est associé chez Bereskin & Parr S.E.N.C.R.L., s.r.l. Il dirige le bureau de la région de Waterloo.
Les compétences de Jason en matière de brevets sont axées sur les innovations dans les domaines de la mécanique, des télécommunications et des logiciels. Jason démontre un vif intérêt pour le travail avec des entrepreneurs établis et en démarrage œuvrant dans le secteur de la haute technologie. Il donne également des conseils à ses clients en ce qui a trait aux marques de commerce, au droit d’auteur, au secret commercial ainsi qu’aux questions et aux différends liés à l’octroi de licences dans le domaine de la propriété intellectuelle.
Avant de se joindre à l’équipe de Bereskin & Parr S.E.N.C.R.L., s.r.l., Jason a acquis une précieuse expérience en litiges et en préparation de demandes de brevets grâce à son travail pour une société mondiale de communications sans fil.
Jason a également accumulé de l’expérience dans les domaines de la conception mécanique et du génie manufacturier pendant qu’il participait au programme coopératif d’études de premier cycle dans les secteurs de l’automobile et de la fabrication de pointe.
Jason est vice président du Comité sur la technologie de l’information et membre du Comité de politique commerciale de l’Institut de la propriété intellectuelle du Canada (IPIC). Il est également président du Kitchener Waterloo Intellectual Property Group (KWIPG).
Jason est professeur auxiliaire à la faculté de droit de la Western University, où il donne un cours avancé sur la propriété intellectuelle.
Elizabeth formule régulièrement des conseils aux représentants des sociétés sur la gestion solide de leur actif immatériel, y compris l’octroi de licences, les marchés et les travaux transactionnels, avec une emphase particulière sur l’aide aux PME pour qu’elles acquièrent une stratégie juridique à long terme qui leur permettra de maximiser leur capital intellectuel, en plus de contribuer à la croissance et au développement global de leur entreprise. Dans sa pratique du contentieux, Elizabeth représente des clients dans des affaires entendues par la Cour fédérale, la Cour d’appel fédérale, la Cour supérieure de justice de l’Ontario et la Cour d’appel de l’Ontario. Elizabeth a acquis une vaste expérience au sein du groupe de contentieux d’un important cabinet national; elle a continué de pratiquer dans la boutique de contentieux la mieux classée au pays avant de fonder le cabinet Dipchand LLP.
Elizabeth siège au sein du Comité de la conférence annuelle de l’IPIC et du Comité de politiques commerciale en matière de PI.
Jordana est une avocate de premier ordre, reconnue au niveau national et mondial pour son expertise approfondie dans tous les domaines du droit de la propriété intellectuelle, en particulier dans les litiges relatifs aux brevets et aux marques. Jordana est également particulièrement connue pour son expertise dans les industries pharmaceutiques et des sciences de la vie, entre autres. Elle intervient régulièrement dans des procédures en vertu du Règlement sur les médicaments brevetés (avis de conformité), dans des actions de mise en cause et de contrefaçon de brevets, dans des procédures de révision judiciaire et dans des actions en dommages et intérêts. Elle travaille également régulièrement avec des clients concernant la protection et l'optimisation de leurs portefeuilles de propriété intellectuelle et l'application de leurs droits de propriété intellectuelle.
Nathaniel est un plaideur et un stratège en matière de propriété intellectuelle, spécialisé dans les brevets, la propriété intellectuelle commerciale et les questions réglementaires liées à la propriété intellectuelle dans le domaine des sciences de la vie. La pratique de Nathaniel en matière de litiges comprend tous les types de litiges en matière de PI axés sur la technologie. Il a agi dans le premier litige au Canada concernant la des gènes humains et dans le litige qui a mené à la révision des directives de l'Office de la propriété intellectuelle du Canada concernant la brevetabilité des objets mis en œuvre par ordinateur. Nathaniel est un agent de brevets et de marques de commerce canadien enregistré et sert de nombreux clients de compagnies émergentes et à forte croissance sur des enjeux de propriété intellectuelle essentiels à leur mission. Nathaniel a également été président du comité des sciences de la vie de l'IPIC.
Nathaniel possède également une grande expérience en matière de conseil sur les questions de propriété intellectuelle liées au commerce international, ayant été président du Comité des politiques commerciales de l'IPIC pendant les négociations du Canada sur l'Accord économique et commercial global entre le Canada et l'Union européenne et le Partenariat transpacifique.
Les membres du Conseil d’administration de l’IPIC sont élus durant l’Assemblée générale annuelle (AGA). Le Conseil est composé de neuf membres: quatre dirigeants, le président sortant et quatre administrateurs.
Chaque membre élu au Conseil est élu pour un mandat d’un an. Cependant, l’IPIC a adopté pour pratique, sous réserve de l’approbation des membres votants à l’AGA, d’assurer une certaine continuité en permettant aux administrateurs de siéger au Conseil pendant deux ans et d’élire deux nouveaux membres chaque année.
Le Comité des mises en candidature peut inviter un ancien administrateur qui ne siège plus au Conseil depuis au moins un an à devenir le trésorier. Cette personne ainsi nommée au poste de trésorier s’engage pour une période de cinq ans : après avoir occupé le poste de trésorier, elle occupe successivement les postes de secrétaire, de vice-président et de président et président du Conseil avant de devenir président sortant.
Le Comité des mises en candidature est formé du président et président du Conseil, des deux derniers présidents sortants et d’un membre associé. Ce Comité évalue entre autres les membres de l’IPIC ayant manifesté un intérêt à siéger au Conseil au moment de remplir leur formulaire de mise en candidature au Comité. Aussi, le Comité des mises en candidature tient compte de la participation volontaire de membres et de la nécessité d’assurer la représentativité du Conseil.